BELARBI Halima2025-12-212022-07-02https://dspace.cu-maghnia.dz/handle/123456789/3496Les modèles à base physique utilisent une distribution spatiale basée sur des unités élémentaires : une maille carrée régulière ou irrégulière, des triangles irréguliers TINS (Triangular Irregular Networks) (Ivanov et al., 2004), des tubes de courant (Grayson et al., 1992), des versants ou d’autres types d’unités hydrologiques. Cette distribution spatiale permet de représenter la variabilité spatiale des facteurs géographiques et météorologiques qui déterminent la réponse hydrologique. Le modèle SHE (Abbott et al., 1986) et le modèle TOPKAPI (Liu et Todini, 2005) sont les exemples les plus connus. Cependant, les modèles à base physique souffrent d’une extrême demande de données, des problèmes d’échelles et de surparamétrisation. Pour finir, il ne devrait pas y avoir de conflits entre ces différents modèles qui ont été développés à des fins différentes (Bergström, 1991). Ainsi, les modèles théoriques sont plutôt utilisés pour une étude fine des processus hydrologiques tandis que les modèles conceptuels correspondent à une approche quasi statistique, où les paramètres correspondent à une moyenne sur l’ensemble du bassin (Miossec, 2004)MODELISATION HYDROLOGIQUEANALYSETHEORIE ET APPLICATIONANALYSE ET MODELISATION HYDROLOGIQUE THEORIE ET APPLICATIONOther